Les mecs adorent le cul. Je suis un mec et j’adore le cul.
Je l’ai découvert assez tard. A pratiquement 21 ans avec une fille de 18 ans qui était très prude au départ.
Bien sur je n’ai pas attendu 21 ans pour connaître le plaisir sexuel.
A 11 ans, lorsque j’étais en 6ème et que je me trouvais seul chez mes parents un après-midi, j’ai ressenti le besoin de me mettre nu alors que je faisais mes devoirs d’anglais.
Drôle d’idée me direz vous mais les hormones sont devenues ce jour là plus forte que tout le reste.
Je me retrouva donc à poil et en érection, puisque ce phénomène m’était déjà connu depuis pas mal de temps, mais sans savoir quoi en faire.
Je ne sais pas pourquoi, ce jour là je me masturba. Comment m’est venue l’idée de le faire ? Comment ai-je su comment faire ? Je ne m’en rappelle pas. Sûrement l’instinct animal ou le souvenir d’une vie antérieure. Si quelqu’un a une quelconque explication je suis preneur.
Je m’astiqua donc jusqu’à ce que je connaisse ma première éjaculation, ma première jouissance, mon premier bien-être.
Je me rappelle avoir été surpris par l’intensité du plaisir et par la vision de mon premier éjaculat. Le sperme n’était pas blanc mais transparent. Je me souviens également avoir envoyé 2 jets puissants sur mon bureau. Je fus étonné par la puissance d’une éjaculation.
Car remettons les choses dans leur contexte. Nous étions en 1987 et à cette époque il n’y avait pas d’Internet bien sur, donc pas de téléphone portable avec d’accès Internet, pas de portable tout court d’ailleurs et nous n’avions pas encore Canal + et son célèbre film pornographique. Habitant la province profonde à l’époque, nul moyen de trouver des livres de cul, des sex-shop ou tout autre chose se rapportant au sexe. Les pages lingerie du catalogue de La Redoute étaient le seul moyen pour moi de m’exciter un peu. Les temps ont bien changé.
De plus, l’émission culte de radio Lovin’Fun avec le Doc et Difool n’existait pas encore, donc il fallait découvrir soi-même avec sa propre expérience la sexualité.
Avec le recul, quand je vois comment la génération d’aujourd’hui a une facilité d’accès à la pornographie je me dis que ce doit être hyper frustrant de savoir exactement comment est constituée une fille avant d’en découvrir une en vrai. Je suis bien content d’avoir mis du temps à découvrir le sexe avec les femmes et d’avoir apprécié chaque nouvelle découverte. Car lorsque j’avais 21 ans en 1997 je n’avais encore jamais vu de vidéos porno. Oui, je viens vraiment de la France profonde. Je me suis largement rattrapé depuis, et même si j’aurai aimé connaître ça plus tôt je ne regrette rien.
Donc depuis cette fameuse journée de 1987, il n’y eu pas beaucoup de jour sans éjaculation. J’ai adoré ça tout de suite, comme tout le monde je pense, et depuis il est absolument impossible pour moi de m’en passer.
95 % de mes jouissances ont été en solo. Déjà entre 11 et 21 ans cela n’a été que de la masturbation.
Ensuite durant 3 ans je suis resté avec une fille de la campagne (la très prude) avec qui je me suis dépucelé et que j’ai dépucelée aussi par la même occasion. Elle est devenue en très peu de temps une folle du cul. Elle adorait tellement ça qu’on faisait ça tout le temps. Dans la salle de bains de ses parents pendant que tout le monde était à table, dans la voiture au milieu des bois, sur la table, dans la toile de tente en pleine après-midi au Cap-Ferret, le matin au réveil, le midi pour digérer, l’après-midi avant et après la sieste, avant le film du soir, pendant le film du soir, après le film du soir, en pleine nuit…
Et puis un vendredi soir elle est rentrée à l’appartement qu’on s’était pris 3 mois plutôt en m’avouant qu’elle avait rencontré quelqu’un et qu’elle avait déjà couché avec lui. Quelques parts cela m’a soulagé car j’avais envie de passer à autre chose. Elle n’a pas voulue que l’on s’envoie en l’air une dernière fois. On s’est quitté définitivement sur le quai de la gare Montparnasse le samedi 1er avril 2000. On est toujours en contact par mail et cela fait 4 ans que je la travaille pour que l’on est une dernière nuit ensemble. Je pense que cela ne se fera jamais.
S’en est suivi une période de 2 ans et 3 mois de célibat pur et dur pendant laquelle je me suis énormément masturbé. Jusqu’à 5 fois par jour. J’ai beaucoup apprécié cette période, la meilleure pour moi aujourd’hui avec le recul, même si le contact physique avec une femme me manquait de plus en plus.
J’ai rencontré quelqu’un durant l’été 2002. Une Kazakhe qui habitait Paris.
On s’est plus tout de suite. On a couché ensemble tout de suite.
Elle était très belle mais n’avait pas de seins et un sexe très poilue qu’elle ne rasait pas. C’est depuis cette période de ma vie que j’aime les sexes féminins poilues. J’ai découvert un certains nombre de choses que je n’avais pas pratiquées avec ma campagnarde comme la fellation ou le cunilingus.
J’ai fini par la quitter 4 ans plus tard car il s’avérait qu’elle était tyrannique et c’est celle que je regrette le moins de ne plus baiser.
J’ai de nouveau connu une période de célibat de 2 ans et 2 mois où la masturbation a de nouveau repris toute la place qu’elle occupait avant.
Jusqu’à ce que je rencontre une nymphomane. Une vraie nymphomane.
Elle avait 1 an de moins que moi, elle n’était pas très belle, elle ne portait pas de soutien-gorge mais des T-shirt moulants (donc tout le monde voyait ses nichons qui ballotaient) et elle se rasait le pubis jusqu’à la vulve.
Je l’ai rencontré un vendredi à 14h30, je la baisais à 22h00.
Après plus de 2 ans d’abstinence je me suis déchaîné sexuellement avec elle. C’était pire qu’avec ma campagnarde. Avec elle c’était clair. Elle ne voulait pas de mec chez elle, elle voulait juste une queue qui la défonce. Tous les jours. Plusieurs fois par jour. Elle s’en foutait des préliminaires et de la tendresse. Elle voulait une pénétration et jouir. J’arrivais chez elle à n’importe quelle heure pour la baiser.
Lorsque que je venais la voir à 6h00 du matin, elle était encore couchée. Elle venait m’ouvrir en nuisette et elle allait se recoucher direct. Souvent ses tétons dépassaient de la nuisette ou lorsqu’elle entrait dans le lit j’apercevais furtivement son minou. Je me déshabillais, je venais la rejoindre, nous avions un rapport et 5 minutes après nous étions au café.
Si je venais en matinée, vers 10h00, elle m’attendait encore avec un café. Puis nous passions dans la chambre. 10 minutes plus tard j’étais déjà reparti.
Je mangeais souvent avec elle le midi. Nous nous envoyions en l’air avant et après à chaque fois. Souvent sur la table de la salle à manger ou sur le canapé.
Quand je la voyais l’après-midi c’était plus cool. Je prenais souvent 2 ou 3 heures avec elle. Nous commencions par faire l’amour puis après soit nous dormions un peu, soit nous discutions avant de recommencer de plus belle. Les après-midis étaient mes moments préférés.
En soirée c’était plus rapide. J’arrivais et on buvait une bière ensemble, voire 2 puis souvent on baisait directement sur le canapé, parfois dans la chambre mais toujours de manière très rapide.
Si je venais vers 22h00 par exemple c’était très rapide, du style, en 10 minutes je suis arrivé-reparti avec du cul entre les 2.
J’ai passé certaines nuits aussi avec elle. J’adorais ces moments là. Là, on baisait vraiment toute la nuit, à faire grincer le lit, à réveiller les voisins. Car en plus de ça elle gueulait quand elle se faisait prendre. Les voisins savaient tout de sa vie sexuelle. De plus, de temps en temps d’autres mecs venaient la visiter, des fois juste avant moi ou juste après.
Au début c’est la vie de rêve. On baise quand on en a envie et autant de fois que l’on veut. Cette situation a duré 3 mois. J’ai du avoir 1 000 relations sexuelles durant cette période. Et puis au bout d’un moment j’en ai eu marre. J’avais les couilles constamment vides, le sexe en feu et puis à force de trop baiser on finit par ne plus apprécier une partie de jambes en l’air car cela devient banal.
On a stoppé net.
Cela a duré 1 mois.
Elle est revenue me voir et m’a dit que depuis qu’on avait arrêté de coucher ensemble elle n’avait rien fait. Que c’était avec moi qu’elle préférait s’envoyer en l’air parce que j’arrivais bien à la faire jouir…. Bref elle voulait du cul. Avec moi.
On a recommencé durant 2 mois.
Puis à mon initiative nous avons de nouveau arrêté pour les mêmes raisons.
Et repris 3 mois plus tard toujours pour les mêmes raisons avant de définitivement arrêter en juillet 2009.
Elle restera la fille avec qui j’aurai eu le plus grand nombre de rapports sexuels.
La période sans sexe qui suivra sera la plus longue pour moi. 2 ans et 6 mois.
Il faut dire que ma période avec ma nymphomane m’a convaincu que la vie de couple n’est pas faite pour moi. Avec la campagnarde j’ai fini par m’en lasser, avec la Kazakhe j’en ai été dégoûté et avec la nympho j’en ai été conscient.
J’ai préféré recommencer une longue période de masturbation et de frustration plutôt que de me réengager dans une relation à 2 qui me blaserait.
Pour moi c’était clair dans ma tête. Je voulais une ou plusieurs sex friends. Je ne désire pas d’enfant donc une femme pour fonder un foyer ne m’attire pas.
Ce n’est pas de l’égoïsme de dire ça. Il ne sert à rien de mettre au monde des enfants que l’on n’a pas désiré à la base.
Cela fait un peu vie en marge de la société mais c’était mon choix.
Bien sur trouver une sex friend lorsque l’on est un mec relève de la mission impossible mais j’étais décidé.
Certes, si j’avais été une femme j’aurai pu trouver un pénis par jour mais malheureusement je suis un mec avec des besoins de mecs. Et un mec ça galère.
En janvier 2012, une collègue de travail âgée de 25 ans de plus que moi m’invite à prendre un café chez elle.
Et là elle me dit que cela fait 3 ans qu’elle a envie de coucher avec moi, qu’on passe du bon temps ensemble, que l’on se donne du plaisir.
En gros elle veut du cul elle aussi et avec un petit jeune par-dessus le marché.
Pas de sentiments, pas de promesses, que du sexe.
On a couché ensemble elle et moi durant 14 mois.
On a stoppé en mars dernier pour prendre un peu de recul, réfléchir à tout cela. Car entre temps elle a voulu s’engager avec moi, ce que j’ai toujours refusé.
Depuis on se téléphone, on se voit mais en toute amitié, en reparlant éventuellement, pourquoi pas, de recommencer à faire régulièrement l’amour ensemble.
C’est avec elle que j’ai eu mon dernier rapport sexuel. C’était le samedi 15 mars 2014.
Depuis j’ai repris intensément la masturbation.
Sans rencontrer personne d’autre malgré la quantité incroyable de jeunes filles, de femmes excitantes que je croise chaque jour dans le métro.
Alors quand je rentre je me donne du plaisir tout seul. Et le problème est réglé.
Finalement quand on est un mec et qu’on a choisi de vivre comme je j’entends la masturbation est un gros problème.
Car ce n’est déjà pas facile de faire des rencontres basées sur le sexe à Paris alors si en plus j’évacue l’excitation, le désir et tout le reste dans de la masturbation, je ne connaitrais plus le bonheur de coucher avec une femme.
Ma dernière partenaire je l’ai trouvé parce que c’est elle qui est venue me chercher.
C’est pour ça que j’ai décidé aujourd’hui mercredi 24 septembre 2014 d’arrêter définitivement de me masturber. Si je veux du plaisir sexuel c’est à moi d’aller le chercher avec une partenaire.
La masturbation c’est facile et quand on veut. Mais finalement on en tire une grosse frustration parce que toute cette énergie dépensée aurait pu être utilisé autrement. Professionnellement, sportivement, sexuellement…
Je témoignerai le plus souvent possible sur ce blog de cette expérience du refus de la masturbation à perpétuité et de mes éventuelles aventures sexuelles avec, j’espère, les quelques femmes que je pourrai croiser ici à Paris.
Mais comme toute expérience doit avoir un point de départ, je me suis offert une dernière branlette il y a 1 heure et demie de ça.
Voyez un peu le résultat.
A bientôt et prenez soin de vous.